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Pourquoi acheter vos aliments en VRAC ?
La loi du 22 août 2021 portant sur la lutte contre le dérèglement climatique fixe des objectifs de développement du vrac en grande et moyenne surface. D’ici 2030, chaque enseigne devra consacrer 20% de sa surface à la vente en vrac.
D’après une enquête de l’UFC-Que Choisir menée en 2020, les produits en vrac sont en moyenne 6% moins chers que les produits préemballés. Le prix de certains aliments comme les pâtes, le riz et les céréales est un peu plus élevé en vrac, car il s’agit d’un marché très concurrentiel. À l’inverse, le vrac est beaucoup moins cher pour les fruits secs comme les amandes et les noix de cajou (-21 %). C’est également le cas pour les légumineuses comme les lentilles et les haricots (-18%).
Si l’on compare les prix au kilo, les produits bio sont moins chers sans packaging que lorsqu’ils sont emballés.
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Apporter ses contenants
Pour acheter en vrac, on peut apporter ses sacs papier ou tissu mais aussi ses contenants bocaux et boîtes. Outre le geste écologique, cela permet de visualiser la quantité nécessaire.
Le mieux, c’est d’acheter au fur et à mesure des petites quantités ; ce qu’on va manger dans les 15 jours. Les aliments secs ne sont pas périssables (très longues duré de consommation) mais même dans des bocaux bien hermétiques certaines noix et les biscuits peuvent ramollir. De cette façon, on évite le gaspillage et on sait ce que l’on consomme.
Les bocaux doivent toujours être propres et bien secs, pour conserver au mieux les produits.
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Selon une enquête Nielsen menée en décembre 2018 à la demande de l’Association nationale de défense des consommateurs et usagers CLCV (Consommation, Logement, Cadre de vie), 37% des Français déclarent acheter des produits en vrac au-delà des fruits et légumes. Ils plébiscitent les oléagineux comme les noix ou les noisettes (58%), les fruits secs (47%), les légumes secs comme les lentilles (32%) ou encore les céréales (28%).